"Un truc de ouf" - Historex, Metal Modeles; Nemrod - 56 et 54 mm FINI

Pour moi tu as été béni des dieux ou une bonne fée c'est penché sur ton berceau pour te donner des mains aussi talentueuses.  Je ne vois pas d'autres explications.

Rassures moi Bruno, tu es bien en dessous sur la photo .....

Bonjour à tous,
Merci à gedeon, charlymic3, stepD, Sgt Pepper, marcelscott, couteau bruno. J'ai les noms de ceux qui ne suivent pas...
 Bruno, je l'oublie à chaque fois, n'oublie pas, toi, de faire une caresse à toutou de ma part.

Vous avez vu une partie du décor. Ce n'est pas fini.

Passons un peu au sujet et à l'idée. Vous allez voir, il n'y a rien de plus bête. Commençons par le matériel.
J'avais en stock un assez grand nombre de kits où l'artillerie et ses accessoires étaient en majorité. C'est ma faiblesse, j'aime ça. A leur manière, ce sont aussi des maquettes, même si elles n'ont pas le prestige des productions Dragon, Meng ou Tasca. Mon goût personnel - et toute mon aventure en figurine - avait pris naissance à la contemplation d'un canon de Gribeauval sur une page de mon manuel d'Histoire - Malet-Isaac - en première. Tout était parti de là mais ça, c'est une autre histoire.
De temps en temps, pour le fun, je montais un canon, un obusier, un chariot, un avant-train, ou, plus rarement, une transformation de véhicule avec du scratch, sans plan précis ni projet. Une fois finie (quelquefois pas...), l'objet prenait place sur l'étagère d'une armoire et je l'y oubliais. Jusqu'au jour où, m'avisant de l'accumulation ainsi créée, je me suis dit qu'il serait peut-être bon de mettre tout cela en scène. La réunion de tous ces éléments assez semblables dans le fond m'a inspiré l'idée de représenter le parc d'artillerie que je n'avais jamais vu réalisé en display. Si l'idée, en soi, n'a rien d'original, le fait d'être le seul à se lancer dans un truc dingue de ce calibre pouvait passer, là, pour original. L'idée était née. Restait à concevoir rationnellement la présentation. Avec toutefois un préalable: en faire une pièce d'expo uniquement et surtout pas de concours. Parce que je ne concours plus depuis des décennies. Ecœuré.  Un truc comme ça, ça prend trop de place et les juges ne le regardent même pas.
C'est donc de façon assez désordonnée que l'affaire s'est mise en route. Il m'a fallu inventer du décor  et un ensemble autant que possible crédible.
Choisir le parc d'artillerie était aussi une façon de revenir à ma vieillerie n°8, celle consacrée aux ouvriers d'artillerie, "ces petits, ces obscurs, ces sans-grades", selon l'expression d'Edmond Rostand. Cette fois, j'y ai ajouté des canonniers qui se mêlaient volontiers aux ouvriers en tant qu'experts, puisqu'ils étaient les utilisateurs quasi exclusifs des matériels en question. Pour donner de la vie, il fallait aussi mettre en scène des attelages et leurs conducteurs.
Je vous l'ai déjà dit, j'aime les tenues simples comme les habits ou les harnachements  à la française et pas du tout ceux à la hongroise, trop compliqués. Je laisse cela à ceux qui peignent bien. Alors, les artilleurs et les ouvriers, ça me va.

L'échelle ? Là aussi, pas d'originalité, le 1/32e, celle d'Historex, seule marque que je connaissais de toujours, qui pouvait me permettre de réaliser la chose sans trop me disperser. Cette échelle supposant un espace assez vaste pour des scènes qui ne tiennent pas dans un mouchoir, m'imposait de me limiter dans mon sujet. Le grand parc ne se limitait pas aux simples pièces de campagne, tous calibres confondus, mais rassemblait aussi l'artillerie de siège dont les mortiers et de place (pièces de 16, 24 et 32), les équipages et le matériel de ponts et tous les impedimenta de ces spécialités. S'y ajoutaient des matériaux divers (les ponts comportaient d'importants charrois de bois entre autres), du fer, du cuir, du plomb, du suif, des outils spéciaux et des pièces de rechange dont la consommation était forte ainsi que l'armurerie, la poudrerie et la cartoucherie, qui nécessitaient des bâtiments et des véhicules spéciaux.
   
La réserve moyenne minimale du grand parc était d'une douzaine de batteries, soit 72 pièces de plusieurs calibres (une batterie = 6 pièces: 4 canons du calibre et deux obusiers). Leur disposition en ligne  groupait les 4 canons côte à côte et les obusiers un à chaque extrémité de la ligne. En accompagnement, la dotation réglementaire des pièces était d'un caisson par pièce de 4, deux caissons par pièce de 8, trois caissons par pièce de 12. Un caisson pesait environ 600 kilos. Avec les munitions (boulets ensabotés ou non, encompartimentés, les artifices, les gargousses, les accessoires, un timon de rechange, les outils et la roue de secours), la charge pouvait aller à 2300, 2400 kilos, d'où la nécessité de disposer d'attelages en quantité (minimum 4 chevaux et souvent 6) pour le tout terrain, ce dont l'Empereur se plaignait sans cesse.

Enfin, pour la disposition générale, mon parti pris a été le suivant: plutôt que de représenter un vulgaire "parking" avec des enfilades de canons et de caissons alignés, j'ai voulu privilégier la partie "ouvrière" de ce parc, avec ses divers ateliers qui étaient, somme toute, la mission essentielle de ce rassemblement d'ouvriers manuels militarisés, auxiliaires indispensables des artilleurs. C'était aussi une façon de rendre la scène un peu plus vivante.

Puisque vous avez aimé la fontaine, je vous en remets une goutte.







Voilà un affût de pièce de 12 réalisé entièrement en scratch (sauf les roues mais quand même retravaillées et referrées).



Chariot à boulets. Essentiellement véhicule de parc, il n'était pas rare de le voir sur le terrain après la bataille pour la récupération des boulets et autres  accessoires réutilisables.

 

C'est un matériel NEMROD sur base Historex.





Et maintenant, une carriole de vivandière. Même tirée par un baudet ou un mulet, elle avait aussi besoin de réparations.







Autre chose, un véhicule indispensable pour tous les corps de troupe, le chariot régimentaire, en fait au moins un par bataillon. Le conduire était un privilège réservé aux anciens (qui avaient moins à marcher...















Si, pour les chariots, la couleur dominante était celle de l'artillerie (ce vert olive terne que vous connaissez maintenant), on voyait un peu de tout, du jaune, du gris, du brun, vite recouvert de boue ou de poussière. Là, débâché, j'ai choisi le jaune et j'avoue avoir pris un pied fameux pour la patine. A mes yeux, c'est le mieux réussi de tous ceux que j'ai peints.











Vrai héros de tout le parc, ces véhicules de servitude étaient les plus malmenés et ceux qui comptaient le plus de casse: roues, timons, pertes d'outils, de roues de secours, etc. Ils étaient rarement garnis réglementairement en raison de tout ce qui leur était enlevé au fur et à mesure. Ils allaient par tous terrains avec de grosses charges, au plus près du feu puisqu'ils devaient s'approcher des pièces à approvisionner à cinquante pas. Les boulets adverses ne les épargnaient pas. Pour éviter trop de pertes, surtout des précieux attelages, les batteries s'adossaient quand c'était possible à une crête derrière laquelle caissons et chevaux étaient abrités et un va-et-vient de canonniers s'opérait pour l'approvisionnement des pièces. Pour se faire une idée, un boulet de 12 pesait 7,5 kilos avec son sabot.

Une petite pause.
A+, les amis
Armand   dit track...

toujours aussi passionnant.....

On se régale, la peinture des éléments du train est très belle, j'ai un petit faible pour le chariot régimentaire

Je suis fan de la période Napoléonienne mais une fois montée et peints ou les mettre après le dio. Ta peinture laisse vraiment rêveur.

Pas fan de cette époque mais le matériel est superbe ! Ta fontaine est juste incroyable ! On dirait une vraie !

Tout le monde ne peux pas aimer les memes choses.

Ben on va finir par être incollable sur cette partie de l'histoire
Je suis fan de tes traitements de tous ces trains roulants avec cette diversité dans les teintes; c'est juste bluffant

impressionnant ton travail , je resta admirative

Énorme ! en taille, comme projet, comme qualité. J'en reste coï

Eh ben voila je reste encore une fois scotcher sur ma chaise ( mais avec toi ça devient une habitude ). C'est d'un réalisme époustouflant. Merci pour le toutou, malheureusement pour les caresses c'est trop tard, nous avons été obligé de la faire piquer en décembre dernier ( maladie incurable ) elle avait 18 ans. La photo que j'avais mise datait de quelques années.

Que dire: c'est magnifique. Tu as dit dans un de tes post que tu n'avais pas de retour. Mais quels genres de retour tu attends alors que le travail est exceptionnel. J'ai encore beaucoup d'année à faire pour avoir ton coup de main (jamais fait de résine, de scratch, ...).

Bonjour et merci, vraiment, à tous, aux nouveaux venus comme aux "abonnés" du post.

Je commence, moi aussi, à avoir des problèmes de place et j'envisage de plus en plus de réduire mes productions. En particulier, je risque de devoir réduire mon projet de la "place des canons" à l'Arsenal de Toulon sous l'Empire, pour lequel j'avais déjà du matos réalisé dont des outils, un bout de la halle aux affûts, et environ 80 figurines.  

Bon, on continue notre présentation par des morceaux de "scènes" du display.

Parmi les activités du parc, les réparations les plus lourdes tenaient une bonne place. J'ai imaginé le remontage d'un affût de canon de 8, à partir d'éléments récupérés. Un officier armurier surveillait toujours cette opération (vous le verrez à la fin) qui consistait à assembler des pièces très lourdes avec un jeu d'1 à 2 mm maxi dans les emboîtages. En effet, l'assemblage devait être extrêmement solide pour encaisser l'ébranlement provoqué par le recul au départ du coup. Au départ, Gribeauval était un ingénieur et ce n'est pas pour rien qu'il avait calculé la place et la taille des entretoises réunissant les deux flasques de l'affût. Avec le boulonnage adéquat, cela devait supporter les coups sans risques de dislocation de l'ensemble.
On comprend la nécessité de cette opération quand on imagine les incessants besoins en artillerie: quand l'armée est à la frontière du Grand Duché de Varsovie, la France est loin et faire venir des canons prend trop de temps. Les ouvriers étaient suffisamment habiles pour quasiment en refabriquer, à condition  de disposer de tubes, seule pièce qu'ils ne pouvaient réaliser par eux-mêmes. 











J'ai imaginé un chantier en scratch pour poser l' affût. A ma connaissance, aucune gravure n'existe à ce sujet mais c'est ce que je ferais si je devais procéder à ce remontage avec les moyens du temps.  Là, un canonnier reboulonne les deux flasques avec au milieu l'entretoise de crosse large d'environ 0,45m.
Profitez en pour observer cet affût et ses ferrures. Vous constaterez qu'à part le dessous sur un mètre à peine, tout est ferré. Là aussi, Gribeauval avait bien fait les choses en calculant une sorte d'équilibre de poids entre le poids de l'affût et celui du tube. Par exemple, pour une pièce de 12 dont la silhouette était la même en un peu plus grand, j'ai fait un calcul d'estimation. La voiture-canon comme on l'appelait (c'est-à-dire canon + avant-train) pesait 2080 kilos (source Musée de l'Armée). Le tube de 12 pesait 885 kilos. J'estime l'avant-train complet à 320 kilos. La masse de l'affût seul avec ses roues et son coffret s'établit donc à 875 kilos. C'est un équilibre quasi parfait avec le poids du tube et explique sa relative facilité de manœuvre à l'attelage et au déplacement pour la remise en position de la pièce à la main par les leviers à chaque coup (recul).

Maintenant, on passe à un véhicule civil militarisé (c'est-à-dire réquisitionné). Cela s'appelle un fardier. C'était un véhicule lourd de transport pour lourdes charges, solidement construit, d'une façon sans commune mesure avec les chariots ou caissons à munitions ordinaires. Par exemple, si un caisson chargé pouvait peser au maximum 2200 kilos, sur un fardier, on pouvait charger jusqu'à 8 tonnes voire plus. Ils ne se déplaçaient que sur route, donc pas de tout terrain. Il fallait 8 chevaux pour les tirer mais comme c'était quasiment impossible d'avoir autant d'attelages, 4 ou six bœufs faisaient l'affaire, à leur rythme, évidemment.
A part les roues Historex, retravaillées à 90% (Jantes, ferrage à la "civile", rayons renforcés), tout est scratch. Fardier rime avec pied, celui que j'ai pris à le fabriquer (sans compter mes heures), à le peindre et à le patiner.













Je suis particulièrement satisfait d'avoir imaginé ce treuil à cliquet servant à charger par traction sur rampe des charges lourdes. Là, comme toujours, pas de plan, pas de schéma, pas de cotes...  Qu'en pensez-vous ?

On va rester dans le levage avec cet instrument qu'on appelait une chèvre (?), que j'ai réalisé entièrement en scratch, à partir de bois massif avec, comme unique doc, une simple photo d'un modèle réduit de l'ancienne salle Gribeauval du Musée de l'Armée. Comme toujours, sans cotes, j'ai travaillé avec mon "grognard", une figurine ratée et massacrée qui me sert d'étalon pour déterminer mes proportions quand il s'agit de matériels mis en œuvre par l'homme. 
Avec un palan simple à une réa, on pouvait lever 1500 kilos. Composé à plusieurs réas comme dans la Marine et sur un châssis plus fort, on pouvait lever 3500-4000 kilos.
Généralement, les ouvriers ou les artilleurs l'utilisaient pour poser les tubes sur les affûts.













Le chariot porte-tube est aussi du scratch intégral. Même source doc que pour la chèvre (photo du Musée de l'Armée).

On a parlé de caisson. Remonter voire re-fabriquer presque entièrement un caisson était une des occupations principales des ouvriers du parc, vu la casse. Tout ce qui pouvait être récupéré était réutilisé. Ici, pour achever l'intérieur, on re-compartimente. Le devant servait à entreposer les artifices et les accessoires de feu. Les compartiments servaient à éviter que le chargement en boulets ne se déplace trop en tout terrain, et fasse verser le caisson en déclivité.











Et on termine par le plus intéressant (pour les bidasses... ), l'arrivée du pinard. En Allemagne, par moments, on avait marre de ne boire que de la bière. Aussi, quand l'intendance faisait parvenir du vin, surtout d'Italie, c'était la fête. Comme d'hab, sauf les roues (re-travaillées évidemment), encore un scratch sauf une ou  deux ferrures et le marche-pied.  Les barriques sont faites à partir de deux tronçons de manche de pioche cassé, travaillés au tour, cerclés à la carte plastique. Assez sympa à faire.









That's all, Folks !!! for to-day.

La suite à venir avec des fig, pourquoi pas.
A+ les amateurs
Armand   dit track...

Je  prendrais bien un verre de vin d'Italie 

T'es un grand malade toi aussi

C'est du très grand ART tifice. 

Je confirme, l'instrument de levage s'appelle bien une chèvre. Même si elles sont plus moderne à mon travail, le principe reste le même.

Là on regarde et on se tait, tout ça en scratch   je suis émerveillé par toutes tes créations, et que c'est agréable de te lire

J'ai lu (je ne sais plus ou ) que les canons avaient une position route et une position combat sur l'affut . Vu le poids des trucs comment fesait-on pour passer de l'une a l'autre ?

Sgt Pepper a écrit:Là on regarde et on se tait, tout ça en scratch   je suis émerveillé par toutes tes créations, et que c'est agréable de te lire

+1 

Charly (2 fois), Step D, Bruno (Couteau), Lysander001, Sgt Pepper, Georges (Wallace101), merci de vos commentaires et de votre fidélité à ce post, pour une fois que j'essaie de présenter comme un pas-à-pas.

Réponses aux questions de Charly:
Vitrage: rien de plus simple. Désormais, puisque tout (ou presque) est vendu sous blister, utiliser le pastique d'épaisseur moyenne ou mince. Mettre en place les "bois" de fenêtres découpés dans du carton raide (400-500g). Coller. Choisir les parties bien plates du plastique transparent, découper de quoi recouvrir toutes les vitres d'un seul coup (inutile de découper vitre par vitre si votre vitrage n'est qu'un décor). Avant de coller, gratter la surface du plastique pour la dépolir et faciliter la prise de la colle. Collage à la cyano en appuyant légèrement pour ne pas baver sur la partie vitre.

Occultation: du carton plat collé pour éviter le gondolage ou du CP mince si grande surface à boucher, dont on peut pointer le contour.

Bois: je n'emploie pas le balsa (ou très rarement) qui est trop léger. Uniquement le CP de différentes épaisseurs. Si je dois faire des poutres apparentes, c'est du bois massif aux arêtes chanfreinées au cutter (comme dans le réel où les arêtes sont travaillées à l'herminette). Sur le bord des toits, les chevrons sont apparents et constitués de petits segments de bois massif collé au bon écartement.

Fontaine: il y en a partout, pas forcément au milieu d'une cour pavée. De tous temps, les hommes se sont toujours rassemblés ou arrêtés autour d'un point d'eau. On remarquera que ma fontaine est entourée de pavés sur plusieurs rangs.

Position du tube du canon: Il est exact qu'il y a deux positions du tube: tir et route. Pour passer du tir à la route, on prenait un levier de force en bois (pour ne pas abîmer l'alésage du tube) dont le diamètre remplissait presque tout l'alésage.4 hommes soulevaient le levier pour sortir les tourillons de leurs encastrements sur les flasques et guider le tube dans l'axe de l'affût. Le reste des servants tirait en arrière le tube par les bricoles (cordes) passées dans les anses du tube jusqu'à ce que les tourillons se logent dans les encastrements de route. Pour revenir à la position tir, l'opération s'opérait à l'inverse, les servants tireurs de bricoles changeant de côté.
Nota: la position route était adoptée pour les longues distances. En campagne, avec les changements  de position des batteries, la position "tir" était permanente et, pour éviter le basculement en avant du tube lors de cahots par exemple, on se contentait de passer une bricole autour du bouton de culasse et de l'affût.

Merci Track-teur pour ces réponses claires et précises

Bon, ça ne te gène pas Armand si je ne dis tien ? Mes parents m'ont toujours dit de ne pas parler la bouche pleine et là la mienne est plaine de salive, à croire que j'ai la rage, salive accumulée au fil des messages et que je n'avale même pas, trop absorbé par ce que je vois...

Sérieusement c'est splendide !

Bonjour Chris,
Il y a plein de gens qui n'aiment pas le napoléonien. C'est leur droit.
C'est probablement pourquoi ce post recueille pas mal de vues mais relativement peu de réactions.
Si tu ne t'es pas manifesté, c'est que tu avais autre chose à faire mais que tu le fasses aujourd'hui me rend d'autant plus heureux.
Attends encore quelques jours et tu auras, au final, une vue d'ensemble.
Merci.

Armand

Perso je n'aime pas Napoléon, que je considère comme un dictateur sanguinaire et mégalomane, mais j'apprécie beaucoup ton travail et le soin que tu y apportes, ainsi que les explications toujours très didactiques que tu offres avec tes montages.