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résumé de la bataille de Stonne, 15-25 mai 1940 (journée du 15)

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résumé de la bataille de Stonne, 15-25 mai 1940 (journée du 15) Empty résumé de la bataille de Stonne, 15-25 mai 1940 (journée du 15)

Message par Invité Dim 14 Nov 2010 - 2:09

comme promis, et en attendant peu-être une rubrique dédiée à l'histoire, voici le début de mon résumé de la bataille de Stonne en mai 1940, où les B1 bis se sont particulièrement distingués.

Petite histoire de la bataille de Stonne, 14 au 24 mai 1940 ; résumé d’après le dossier d’Eric Denis dans « Batailles », thématique N°2.

Préambule

Bien que l’armée française soit considérée par les allemands eux-mêmes comme la plus puissante du monde, et qu’effectivement sur le papier elle est numériquement plus forte dans presque toutes les armes, sa doctrine défensive est périmée. Fondée sur des fortifications (que Napoléon lui-même considérait déjà comme caduques) et ignorant les capacités de l’arme blindée comme une nouvelle donne dans les combats elle n’a pas développée de tactique appropriée. Par contre depuis longtemps les stratèges allemands préparent une offensive basée sur le mouvement et la vitesse.
A la surprise générale et déjouant toutes les hypothèses des stratèges français et anglais, les allemands lancent une double offensive, au nord de la frontière belge pour occuper et fixer le gros des troupes franco-britanniques, et au sud, à travers les Ardennes, pour contourner la ligne Maginot et encercler les armées retenues au nord.
Ce plan particulièrement audacieux plonge l’état-major français dans la stupeur et le doute.
Mais plutôt que de dégarnir le front nord où il suppose toujours que va se produire l’essentiel de l’offensive, il mobilise les unités en réserve sur les axes qui mènent à Paris pour contenir l’offensive du sud…

Les forces en présences

Du côté allemand. L’offensive étant périlleuse, c’est le meilleur de l’armée qui est mobilisé, le XIXéme Corps d’armée, sous le commandement du général Heinz Guderian. Il dispose entre autre du fleuron de l’armée, le régiment « Grobdeutschland », et d’autres troupes d’élite, déjà aguerries en Pologne.

En face l’E.M. français qui a sous estimé la possibilité d’une attaque motorisée dans les Ardennes, n’a placé que des divisions d’infanterie en partie composée de réservistes.

Les prémices de la bataille

Le 12 mai au soir l’armée allemande est sur les bords est de la Meuse.
Le 13, la 55e Div. Infanterie du général Lafontaine ne peut résister longtemps à l’attaque concertée des allemands, qui emploient tout à la fois artillerie, panzers et Stukas pour soutenir l’assaut des régiments d’élite. Le général Lafontaine quitte lui-même précipitamment son QG pour se replier 20 Kms plus loin, sans communication.
Il semble que la panique qui conduit à ce repli massif et désordonné provienne d’une (fausse) rumeur de présence de panzers qui auraient déjà traversé la Meuse…

Pour seul ordre de manœuvre, le général Bertin Boussu, commandant la 3e Div. Infant. Motorisée, détachée du 2e Corps pour rejoindre le Xe sous les ordres du général Grandsart s’entend dire : « Faites ce que vous voulez » !

Ainsi le 14, Guderian a tout loisir pour faire passer les premières divisions de son armée et établir un front de 6 Kms de large sur 3 de profondeur, malgré de timides tentatives d’attaques aériennes par petites vagues successives, que la puissante Flak décourage facilement. Cette percée est jugée par le haut commandement français comme « un pépin assez sérieux »… Guderian disperse facilement une contre-attaque tardive et mal coordonnée par le général Lafontaine, et 45 FCM 36 se font tailler en pièces par les panzer III et IV.

Mais Guderian aussi doit se battre avec son commandement pour déployer son front plus en largeur et en profondeur, au lieu d’attendre le passage complet de l’armée. Passant outre cet ordre, dès le matin du 15 mai, « Heinz le rapide » pousse ses Panzer-Division (1, 2 et 10), le GrobDeutschland régiment et le Sturmpioniere Bataillon 43 à l’ouest et au sud. Au centre de cette zone, Stonne, village connu pour son intérêt stratégique, avec un promontoire « le pain de sucre » qui permet d’observer les environs sur plusieurs kilomètres.

En face le général Flavigny, commandant le XXIe corps, a reçu de la 2e armée (général Huntziger) la 3e D.I.M. (Gl Bertin-Boussu), la 3e D Cuirassée R (Gl Brocard) et la 5e D Légère Cuirassée (Gl Chanoine). Il a pour ordre de contenir l’ennemi et engager une contre-attaque pour le rejeter sur la Meuse…
Il veut agir vite, conscient que chaque heure compte. Mais il apprend qu’une division d’infanterie motorisée, malgré son nom, ne dispose pas de ses propres transports… la 3e DCR est en partie privée de certains de ses matériels, et quant à la 5e DLC, après 4 jours de combats, son matériel doit être réparé et réapprovisionné…

Le 14 il ne peut donc qu’envoyer des unités de reconnaissance et organiser en toute hâte une ligne de défense très précaire qui s’arrête au sud-ouest de Stonne. En raison des différents retards des unités, et l’urgence d’établir une défense, le général Brocard doit disperser ses unités blindées en plusieurs points, empêchant la contre-attaque prévue, qui est ajournée, faute de carburant… il est destitué, et ne sera rétabli dans son titre et ses fonctions qu'en juin 1946...

Du point de vu même des allemands, ce retard de quelques heures a sans doute décidé de la suite à venir…

Ainsi à la veille de la première journée de la bataille de Stonne, dans les deux camps ont craint l’attaque de l’ennemi. Mais alors que du côté allemand on prévoit de relancer l’offensive, du côté français on préfère consolider sa défense…


La journée du 15 mai

Aux premières heures du 15 mai…

A 4 heures Guderian délègue le commandement de l’attaque sud (donc sur Stonne) au général von Wietersheim, car son PC est resté en arrière de la Meuse, et il préfère se concentrer sur l’offensive ouest, puisqu’à la suite de la déroute de la Ixe armée française, il semble possible d’engager beaucoup plus tôt que prévu la manœuvre d’encerclement, en remontant au nord-ouest vers la Manche, pour isoler les principales armées anglo-françaises fixées à la frontière belge…

Ordre est donné de prendre Stonne.
Durant la nuit des unités éparses des divisions françaises ont pris place et continuent de s’installer dans et autour de Stonne. Le I/67e RI a pris position dans Stonne avec des éléments du 6e Groupe de Reconnaissance (automitrailleuses), le Pain de Sucre est tenu par le II/67e RI et la lisière sud du Bois de la Grande Côte par le III/67e RI. 2 pièces antichars de 47 sont placées plus au sud, et peu à peu l’artillerie devient opérationnelle.

Vers 5 heures du matin, sans trop savoir l’état des défenses françaises, von Wietersheim lance l’attaque sur Stonne, avec les 3 régiments d’infanterie de la « Grobdeutschland » division répartis au centre et sur les côtés, appuyés par le bataillon 43 de sturmpioniere (infanterie d’élite lourdement armée contre les fortifications). 10 panzers du 8e régiment avancent en fer de lance. Cependant les chars sont obligés de prendre la route en épingle à cheveu qui monte vers le village, à faible allure en raison de la forte pente. Il s’agit de 5 panzer IV suivis de 5 panzers II.
Dans le village la défense se précise, 2 batteries de 2 antichars de 25 sont placées en embuscade. Quelques AMD P 178 se positionnent aussi. Pour beaucoup c’est le baptême du feu… et n’attendent aucun soutien ou renfort d’aucune sorte…
Le sergent Durand, vétéran de la guerre d’Espagne, commande la pièce antichar la plus à l’ouest. Il sait que sa pièce n’aura de chance de porter un coup fatal qu’en attendant le dernier instant… à quelques dizaines de mètres il fait feu sur le premier panzer IV qui fini dans le fossé, le second panzer IV est sérieusement endommagé, le troisième explose… la colonne de panzers marque une pause. Le sergent Durand en profite pour se replier avec sa pièce attelée à une chenillette Renault UE, dans le village.
La progression de la colonne allemande reprend. A l’entrée du village les chars obliquent à gauche, tandis que l’infanterie qui les accompagne est clouée au sol par les mitrailleuses françaises. Un violent combat s’engage. 2 panzers II sont immobilisés, tandis que 2 AMD sont détruites. Un panzer II réussi à traverser la rue principale et décide de prendre à revers les défenses françaises, qui vont refluées à la sortie du village. Il prend alors la route sud, mais à un carrefour il est mis hors de combat par une autre pièce AC en embuscade à quelques mètres.

L’escapade du panzer II a semé la panique, les panzer IV entrent par le sud-est, l’infanterie allemande peut progresser aisément au centre du village. Les unités françaises se replient au sud-ouest. A 5 h 30 Stonne tombe une première fois aux mains des allemands.


Dernière édition par quentin le Dim 14 Nov 2010 - 12:47, édité 1 fois

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Message par Jerry Can Dim 14 Nov 2010 - 3:45

Comme quoi il ne faut jamais se fier aux rumeurs...

Merci Quentin pour la synthèse de cette bataille.

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Message par Invité Dim 14 Nov 2010 - 18:28

suite de la journée du 15, de 5 h 30 à 9 h 30
(j'ai commencé la journée du 15 au début du post, mais dorénavant je ferais un message pour chaque suite, sinon on va pas s'y retrouver!)


Ils ne comptent pas en rester là, et partent au sud-ouest du village, à la suite des unités françaises.
Mais dès 5 h 45 le 45e bataillon de cavalerie cuirassée (c’est encore comme çà que s’appelle les blindés !) fonce à toute allure vers Stonne. 3 sections sont engagées, la 4éme reste en réserve. Il s’agit donc de 13 H 39.

2 chars de la section la plus à l’est sont détruits par un des panzers IV resté immobilisé lors du début de l’action.

Au centre, le lieutenant Chambert se retrouve seul, l’un des H 39 est en panne, l’autre a suivi par erreur le chemin de la section ouest. Malgré tout il détruit 2 panzers IV. Il est encerclé par l’infanterie allemande qu’il fait fuir à coups d’obus explosifs. Cependant, arrivé à l’entrée du village, Chambert réalise qu’aucune unité d’infanterie ne l’a suivi, qu’il est complètement isolé. Il fait donc demi-tour pour rallier l’infanterie, qui ne le suit pas davantage…
Il stoppe donc toute action. Les autres H 39 ont aussi fait demi-tour, sauf l’un d’entre eux, égaré dans les bois de la Grande Côte…


07 H 30 les B1 bis entrent en action.

Plus loin à l’ouest, le commandant Préclaire, chef du 49e bataillon (équipé de B1 bis… chouette ! les voilà !) reçoit l’ordre d’envoyer une section vers Stonne. Compte tenu des rapports qu’il entend, Préclaire décide d’y envoyer une compagnie complète. (décision qui sera confirmée plus tard).

La 3e compagnie du lieutenant Caraveo s’ébranle, suivi par le chef d’EM du bataillon et l’officier de renseignement dans un char qui assure la liaison radio avec la compagnie et l’EM.

L’attaque va être engagée de nouveau sans préparation d’artillerie et sans infanterie, le 67e RI se regroupe et refait ses munitions, il ne sera pas opérationnel avant 10 H 30… pourtant l’artillerie et des bataillons de la 3éme DI sont disponibles et opérationnels… manque de cohésion des EM respectifs…

Arrivée en colonne aux abords du village, la compagnie se déploie, 2 sections par la gauche, une section par la droite, puis se retrouvent dans les rues de Stonne. Aucune résistance n’est signalée, l’infanterie allemande a détalé ou s’est terrée dans les caves à la vue de ces énormes chars, encore jamais rencontrés. Après nettoyage du village, la compagnie se place à la lisière sud afin d’avoir la meilleure vue sur le secteur.

A 9 h 30, Stonne est à nouveau sous contrôle français.
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Message par Invité Dim 14 Nov 2010 - 20:17

suite et fin de la journée du 15 mai

A 9 h 40 l’artillerie se décide enfin à nettoyer les abords de Stonne, les principales routes qui y accèdent. Obus de 75, 105 et 155 mm pleuvent.
Cependant les allemands réagissent rapidement, constatant que l’attaque des B1 bis n’est accompagnée d’aucune infanterie. Des armes antichars sont déployées à la lisière du bois de la Grande Côte, derrière le village. De son côté le lieutenant Caraveo décide de décrocher de Stonne et se replier. Alors qu’il sort du village, Le tir d’une mitrailleuse lui fait faire demi-tour. La section de gauche est prise à partie par une pièce antichar de 37. une pièce vise la grille d’aération latérale, et 2 B1 bis sont immobilisés avant que les pièces soient détruites. Poursuivant leur chemin les B1 bis restants détruisent 3 panzers, dont un IV.
Sur la droite, l’équipage d’un des panzers IV immobilisés au début du jour a repris du service, en utilisant les munitions des autres panzers. Lui aussi n’a jamais vu de B1 bis et en ignore l’existence dans l’armée française. Il tire 20 coups sur le premier sans aucun dommage. Puis il parvient à en décheniller un, et fausser le canon de 47 d’un suivant. L’équipage abandonne pour de bon le panzer IV.
Dans cette action 3 B1 bis sont détruits et 3 endommagés, qui seront remorqués plus tard.
Estimant avoir fait le nécessaire, et sans renfort d’infanterie, Caraveo se replie pour de bon.
Le champ restant libre le « grobdeutschland » réinvestit Stonne.
Il est 10 h 30, la position a de nouveau changé de mains…

10 h 30, nouvelle contre-attaque française.

Cette fois les EM ont coordonné leurs forces et leurs actions :
Sont engagés :
Le 1/67e RI
La 1re compagnie du 1/51e RI
Les 3 B1 bis restants de la Cie Caraveo
Les H 39 restants de la 1/45e BCC
Une section de 3 FCM 36 de la 2/4e BCC

L’ensemble représente un millier d’hommes et une quinzaine de chars.

Les troupes se déploient en arc de cercle autour du village. Les B1 bis font office d’obusiers, tandis que l’artillerie effectue un tir de barrage répété en amont du village, pour empêcher tout renfort d’y accéder.
Dans les rues de Stonne les combats sont redoutables, mais l’avantage tourne rapidement en faveurs des Français. Les maisons sont nettoyées une à une, tandis que le « grobdeutschland » se replie en catastrophe. C’est la première défaite de l’unité d’élite allemande. L’artillerie allemande réplique rapidement.
A quelques centaines de mètres au nord-ouest une section d’infanterie manque de faire prisonniers trois généraux allemands, dont peut-être Guderian en personne !

A 11 h Stonne est redevenue française…

Mais à 12 h 30 les Français décrochent sous l’intensité du pilonnage de l’artillerie ennemie. Cependant le « Grobdeutschland » étant sous le choc de sa défaite ne reprend pas l’initiative. La compagnie Caraveo vérifie à 15 h 30 que Stonne reste libre.
Durant l’après-midi chaque camp reste sur ses positions, réapprovisionne, remorque, répare, évacue les blessés et s’organise.
Avant 18 h les Français se retranchent à nouveau dans Stonne, sous les attaques et l’observation constantes de la Luftwafe qui a la maîtrise aérienne totale du secteur.
Cependant l’EM allemand, trop conscient de l’enjeu stratégique que constitue Stonne, envoie le 69 Schützen-Regiment renforcer le « Grobdeutschland » éprouvé. Forte de ces troupes fraîches, la nouvelle attaque allemande pousse avec difficultés le 1/67e RI à 400 mètres seulement au sud de Stonne.
Il est 21 h, la nuit tombe, les allemands occupent toujours le village en ruines.
Chacun campe pour la nuit. Sleep

Fin des combats du 15 mai.


Dernière édition par quentin le Dim 14 Nov 2010 - 20:42, édité 1 fois

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Message par kurgan Dim 14 Nov 2010 - 20:29

vraiment super quentin! drunken
par contre en 'français' on écrit: Grossdeutschland' pour plus de facilté à lire...car sinon on voit et on lit un b ou lieu de ss...
gross=grande...grande allemagne donc... Cool
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Message par Invité Dim 14 Nov 2010 - 20:31

ah ok! j'arrivais pas à écrire cette sorte de B et je savais pas à quoi ça correspond en Allemand! merci, je je ferais plus! (et mes excuses aux germanophiles)!

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Message par kurgan Dim 14 Nov 2010 - 20:37

c est pas un B,c est un 's-tsset',c est à dire que ça remplace deux ss,mais ça n existe pas sur nos claviers Very Happy
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